Se sentir suffisant, être satisfait de ce que l’on a : Chisoku en japonais.

Bien sûr, selon certaines mesures, il n’y en a jamais assez. Nous pouvons toujours trouver une raison pour laquelle plus c’est mieux, ou mieux c’est mieux, ou nouveau c’est mieux ou différent c’est mieux.

Assez devient un choix, pas une mesure de la science.

L’essence du choix est qu’il appartient à chacun de nous. Et si vous décidez que vous en avez assez, alors vous le faites.

Et avec ce choix vient une sorte de liberté remarquable. La liberté d’être immobile, de prendre conscience et d’arrêter de se cacher de la vie qui reste à faire.





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